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ecossais rectifié - Page 2

  • La Renaissance du Phénix à Lyon (d'apres Semper Rectificando)

    Texte sur le blog de nos amis semper rectificando

    Les principes fondamentaux ont été réaffirmés le 14 décembre 2013 à Lyon,

    afin que puisse renaître de ses cendres le Phénix,

    et soit engagée l’oeuvre de réintégration des êtres

    dans leur première propriété vertu et puissance spirituelle divine !

     

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          Lors de sa Tenue de Grande Loge Ecossaise, le samedi 14 décembre 2013 à Lyon,

    correspondant au premier anniversaire du réveil du Grand Directoire des Gaules (15 XII

    2012), le Directoire National Rectifié de France-Grand Directoire des Gaules, a ratifié

    avec le Gran Priorato Rectificado de Hispania et le Grand Prieuré Indépendant et

    Traditionnel des Gaules, des Traités d’Amitié et Reconnaissance,portant sur le rappel des

    fondements historiques, organisationnels et doctrinaux du Régime Ecossais Rectifié.

    Cet acte solennel, qui dépasse largement les accords classiques conclus communément

    entre Puissances maçonniques, puisqu’il s’appuie, de façon claire et explicite, sur les

    bases authentiques du Régime rectifié, représente un moment significatif de l’Histoire de

    l’Ordre fondé lors du Convent des Gaules en 1778.

    En effet, les trois Puissances signataires, relevant d’une même origine – puisqu’elles proviennent toutes du réveil du Régime Ecossais Rectifié effectué en 1935 – ont voulu, par cette décision importante, signifier qu’elles entendaient oeuvrer à la défense de l’Ordre, en le considérant comme un système initiatique indépendant, autonome et souverain visà-vis des structures obédientielles qui, depuis des décennies, se sont emparées du « Rite », en imaginant le soumettre à des vues profondément étrangères aux principes de la Réforme de Lyon.

    Ainsi, les trois Puissances rectifiées réunies à Lyon le samedi 14 décembre 2013, ont souhaité rappeler en préambule, leur indéfectible attachement à l’essence du Régime rectifié par les points suivants :

    · 1) – Le souhait de conserver en fidélité l’esprit des Convents fondateurs de l’Ordre ;

    · 2) – La volonté de respecter les critères explicites exposés dans les Codes de 1778, qui seuls            définissent le Régime ;

    · 3) – Le souci de la conservation et préservation, de la légitimité historique initiatique et doctrine du Régime Ecossais Rectifié.


    a) L’Histoire du Régime rectifié, rappelée et respectée

    Lors de son discours d’orientation, le Sérénissime Grand Maître du D.N.R.F.-G.D.D.G.,

    a souligné ce qui avait motivé, initialement, Camille Savoire (1869-1951) dans sa décision

    de réveiller le Grand Directoire des Gaules en 1935, en rompant avec le Grand

    Orient de France : « Une séparation absolue de l’organisation rituelle et initiatique

    du Régime rectifié d’avec le Grand Orient de France, pour qu’il puisse vivre selon les

    formes arrêtées lors du Convent des Gaules et comme décidé lors du Traité d’Union

    avec les Directoires en 1776. » [1]


    Face au refus du Grand Orient de France de respecter cette séparation, s’imaginant

    « détenteur du Rite », le 23 mars 1935 se déroulait à Paris la tenue historique de la

    Préfecture de Genève, où fut remise une Patente officielle à Camille Savoire, lui octroyant,

    en tant que Grand Maître et Grand Prieur du Grand Directoire des Gaules, toute

    autorité pour créer en France des ateliers du Rite Écossais Rectifié.

    Dans son discours Camille Savoire soulignait que le G.O.D.F. s’opposait à la pratique

    authentique du R.E.R. et que le Grand Directoire des Gaules formerait donc, pour

    répondre aux exigences willermoziennes, un Ordre autonome et indépendant,

    composé de membres « désireux de quitter les Obédiences françaises dont les

    agissements sont en contradiction avec le caractère de la Franc maçonnerie.» [2]


    b) Retour aux bases fondatrices du Régime rectifié

    Avec le recul des années, et alors que l’initiative de Camille Savoire allait être menacée

    rapidement par plusieurs événements conjoints qui firent disparaître de la scène

    maçonnique le Grand Directoire des Gaules dès 1939, et ce pour de longues

    décennies, que puissent se retrouver les Puissances rectifiées désireuses d’unir leurs

    efforts en vue de respecter les critères du « Réveil » de 1935, est un signe extrêmement

    encourageant, et gros d’espérance pour ceux qui aspirent à ce que le Régime Ecossais

    Rectifié parvienne, enfin, à vivre en liberté véritable sous le seules ailes du Phénix.

    Il n’est d’ailleurs pas anodin, que les trois Puissances signataires de ce samedi 14

    décembre 2013 (D.N.R.F.-G.D.D.G., G.P.R.D.H., G.P.I.T.G.), qui proviennent du

    « Réveil » de 1935, soient toutes issues de la transmission de Camille Savoire, et que si

    le Grand Directoire des Gaules a été réveillé le 15 décembre 2012 par des Frères

    provenant du Grand Prieuré des Gaules de 1946 qui s’est écarté des critères rectifiés par

    son multiritualisme aberrant et sa dérive ecclésiale, ainsi que des Frères du Grand

    Prieuré Indépendant de France, juridiction rectifiée du Grand Orient de France, que

    le Gran Priorato Rectificado de Hispania s’est constitué le 16 octobre 2010 en

    rompant avec une désorientation dogmatique qui s’était imposée au sein du Gran Priorato

    de Hispania, on retiendra que la naissance du Grand Prieuré Indépendant des

    Gaules en 1965, participait déjà, d’un mouvement de refus de la Convention signée entre

    le G.P.D.G. et la G.L.N.F. en 1958, dont on sait les conséquences funestes qu’elle eut par

    la suite sur le Régime [3].

    c) L’unité de l’Ordre

    C’est donc conscientes des démarches qui les portèrent, respectivement, et selon des

    circonstances spécifiques, à refuser des situations devenues totalement inacceptables

    pour le Régime, que les trois Puissances signataires ont décidé d’unir leurs efforts ce

    samedi 14 décembre 2013 à Lyon, en scellant, d’une commune volonté, leur engagement

    au service de l’héritage willermozien.

    Il s’agit donc bien, d’une « unité » constituée et édifiée, afin que puisse de nouveau

    rayonner « l’Esprit » de l’Ordre, dans la mise en oeuvre concrète de la « science de

    l’homme » entendue dans le sens de la «doctrine» dont le Régime est dépositaire,

    cherchant à construire, pour ceux qui se rangeront à ses côtés en acceptant de cheminer

    avec lui en se dirigeant du Porche vers le Sanctuaire, un nouveau destin commun en forme

    d’invitation en s’appuyant, avec confiance, sur les seules bases rituelles et doctrinales du

    Régime Écossais Rectifié, ceci pour le plus grand bonheur des âmes de désir en quête de

    la Vérité, et celui de toute la famille humaine au bien de laquelle sont, par définition,

    consacrés tous ses travaux.

    Conclusion:

    Sachant que le Régime rectifié, car il s’agit bien d’un « Régime » lorsqu’on parle du

    système initiatique élaboré au Convent des Gaules en 1778, est fondé sur des principes

    intangibles, le caractère préoccupant de la situation maçonnique contemporaine a donné

    l’occasion aux trois Puissances rectifiées réunies à Lyon, de rappeler leur attachement à la

    conception willermozienne de l’Ordre, de sorte de sauvegarder l’esprit du Régime, ce qui

    donna au Grand Maître du Grand Directoire des Gaules de réaffirmer : « L’Ordre

    apour objet de se consacrer à l’étude et à la conservation d’une doctrine dont il est le

    dépositaire de par l’Histoire, doctrine sacrée qui a un but essentiel et très élevé que peu

    d’hommes sont dignes de connaître. De ce fait, « l’Ordre », du point de vue rectifié,

    lorsqu’on y fait allusion, entendu dans son principe le plus profond, le plus

    authentique, ne réfère donc pas à une structure administrative et temporelle, mais

    relève d’une dimension purement spirituelle. » [4]

    De la sorte, il n’est pas niable qu’en ce samedi 14, du mois de décembre 2013 à Lyon, par

    ces Traités signés et ces principes fondamentaux réaffirmés, un pas significatif vient

    d’être effectué, afin que puisse renaître de ses cendres le Phénix symbole d’éternité, et de

    la réintégration des êtres, attendue et espérée, dans leur première propriété, vertu et

    puissance spirituelle divine !*

     

    Enfin, en réponse à ceux qui se révèlent aveugles face à ce projet de "Refondation du

    Régime", croyant, naïvement, qu’on peut régler les questions touchant aux lois

    historiques, initiatiques et doctrinales, par de vulgaires, et d’ailleurs tristement profanes,

    dispositions administratives et disciplinaires, la seule réponse, fraternelle, entendue ce

    jour fut celle-ci :

    « L’Arbre tient bon ; le Roseau plie.

    Le vent redouble ses efforts,

    Et fait si bien qu’il déracine

    Celui de qui la tête au Ciel était voisine

    Et dont les pieds touchaient à l’Empire des Morts. » [5]

     

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    Notes.

    1. Camille Savoire, Lettre à Adrien Pouriau (1874-1948), Président du Conseil de l’Ordre du

         G.O.D.F., 20 mars 1935.

    2. Camille Savoire précisait : « Voilà comment nous avons régulièrement réveillé en

         France le Rite Rectifié : ce réveil ayant été fait en accord et avec le concours de la seule

          puissance ayant l’autorité suprême du Rite au monde et en conformité des décisions des

         divers Convents de 1778, 1781, 1808, et 1811, et en exécution de la décision prise en 1828

         par le Directoire de la 5e Province de Neustrie déléguant à la dernière de ses

          préfectures, dite de Zurich, ses archives, prérogatives, droits, etc…, avec mission de les

         conserver jusqu’au jour où le réveil du Rectifié pourrait s’effectuer en France et lui

         permettrait de s’en dessaisir. »

    3. Au Convent du G.P.D.G. à Paris, les 23, 24 et 25 septembre 1960, le Frère Louis Didier,

        alors Préfet des Flandres, avait exprimé, non sans vigueur, son rejet des dispositions de la

        Convention de 1958, et de ce refus catégorique, naquit à Lille l’idée d’ériger un Grand

        Prieuré. La Charte constitutive, qui rappelait que les décisions de la Convention 1958

        furent prises sans « consultation préalable », fut transmise à André Moiroux le 8 mai

        1961. Le G.P.D.G., le 14 octobre 1965, déposait de sa charge René Rucart, Préfet des

        Flandres. Celui-ci, loin de prendre acte et de se retirer, prit l’initiative de la création d’un

        « Directoire provisoire du Rite Rectifié en France », qui faisait parvenir le 30 novembre

        une lettre circulaire à tous les Chevaliers du G.P.D.G., et à certains de ceux rattachés au

         G.O.D.F. et à la G.L.N.F.-Opéra, et le 12 décembre 1965 constituait le « Grand Prieuré

         Indépendant des Gaules », placé sous la présidence de René Rucart, son siège social étant

         déposé à Lille.

    4. Johannes Marcus i.O. Eq. A Crucis Mysterio, Discours d’Orientation, Lyon, 14

       décembre 2013.

    5. Jean de La Fontaine, Le Chêne et le Roseau, Liv. I, XXe, Fables, 1698.

        En lien sur le même sujet :

    L’unité du Régime Écossais Rectifié selon les principes de l’Ordre

    http://www.directoirerectifiedefrance.org/?page_id=493

     

    El Fénix renace de nuevo en Lyon

    http://www.masoneriacristiana.es/noticias/renaceElFenixEnLyon.html

  • Extrait d'un discours lumineux de J B Willermoz

            Avec la vie, l'homme a reçu un libre arbitre, c'est à dire que, placé entre le bien et le mal il lui est libre de choisir. On lui fait voir tout le bonheur qu'il libre arbitre.jpgdoit retirer en suivant le bien qu'il connaît déjà et on le menace des plus cruels tourments, s'il se livre à un ennemi dangereux qu'on lui montre aussi. Ici, l'impie crie à l'injustice, parce qu'il veut suivre ce dernier parti ; le juste, au contraire, bénit son Créateur qui, par là, donne à l'homme le rang au dessus des anges.

    Le juste et l'impie ont leur libre arbitre, pourquoi donc ce contraste ?
    C'est que la présomption se glisse dans l'homme à l'aide des connaissances qu'il acquière, s'il n'a pas soin de tout rapporter au seul but pour lequel elles lui sont données. Il prend une fausse route; il y marche avec sécurité. Séduit par l'apparence, il s'abandonne entièrement au langage flatteur de son ennemi qui ne cherche que la ruine, jaloux de la supériorité et d'en être supplanté.
    Une fois que l'homme a perdu de vue la vraie lumière, ou que, poussé par une criminelle curiosité, il veut se servir de celle qui lui est donnée, pour passer les bornes qui lui sont prescrites, il ne fait plus que tomber d'erreurs en erreurs, il parcourt des espaces immenses, sa présomption lui fait tout envisager comme des moyens de parvenir au terme qu'il se propose. Ce terme est bien la vérité ou le bonheur, mais privé par sa faute du flambeau qu'il a laissé en arrière, il murmure, par ce que les ténèbres l'empêchent de voir qu'il n'est pas dans bonne voie : au lieu donc de la paix et de la vérité qu'il cherche, il ne rencontre rien de semblable, au contraire toutes sortes de peines, et, il en est trois pour l'homme. Le remord et la confusion s'emparent de lui, il a bien voyagé, il a bien travaillé, mais tant qu'il sera dans cette route, il ne trouvera rien.
    Ce n'est qu'après être rebuté et fatigué de tant de recherches inutiles, qu'après un terris infini si mal employé, qu'après avoir essuyé toutes les fatigues du corps, de l' âme et de l'esprit, qu'enfin, revenant à ce premier penchant pour le vrai, le bon et le beau, nous abjurons nos erreurs, nous secouons nos préjugés et nous revenons sur nos pas à l'aide du trouble de notre conscience. C'est le cris de nos guides bienfaisantes qui se font entendre impérieusement ; ce sont elles qui ne cherchent sans cesse qu'à reprendre leurs droits sur l'homme.
    Mais, pour retrouver le vrai bonheur, il faut qu'il se soumette, qu'il se résigne, qu'il fasse le sacrifice de ce qu'il a de plus cher, qu' il renonce à ses droits, qu'il subisse la mort et la privation de tout ce qu'il avait possédé. et s'il se soumet à ce châtiment trop mérité par sa révolte, l' homme ingrat et pervers obtient sa grâce, lorsqu'il n'attendait que son anéantissement. Quel est cet ami généreux qui intercède pour lui ? c'est son Créateur, c'est la sagesse même
    Qu'exige t on encore de l' homme ? Rien que les suites nécessaires de son péché la honte., le remord, le travail, la peine et les Maux.
    Dés que l'homme rentre sérieusement en lui même y trouve ce rayon de lumière que tous ont reçu, s'il fait cet examen avec le désir sincère de se connaître, de connaître son auteur et la perpendiculaire qui les unit, si le désir le conduit à une pratique plus régulière de ce qu'il connaît déjà de ses devoirs. Si au contraire le découragement et l'étonnement stérile n'en est pas la suite, il est constant qu'avec de la sincérité, de la constance et de la ferveur, l'homme se servira utilement de cette lueur pour parvenir à la grande lumière. Mais n'oublions pas que cette récompense doit être le fruit d'un long et pénible voyage, que nous en étant déjà une fois rendu indignes elle nous être donnée que sous les assurances et les épreuves les plus authentiques de notre fidélité, de notre prudence et de notre soumission.
    Jusques ici l'homme que nous considérons n'est ni nu ni vêtu, il ne sait pas encore précisément se démêler lui même, il ne peut concilier ses penchants et ses facultés, il s'étonne de sa liberté, il se compare; la fidélité, l'amour et la confiance lui sont ordonnées, il s' y soumet, et son repentir, sa pénitence et son aveu lui méritent sa grâce. Il est porté d'autant plus que le souvenir des circonstances de sa création lui fait concevoir toute la noblesse de son origine.
    Mais l' homme n'acquiert ce qu'il désire qu'en consultant la nature, la raison et la justice ; la première est la porte où il doit frapper, la seconde est la route qu'il doit suivre et la troisième est le but où il doit aspirer. Rentrez donc en vous mêmes, étudiez vous et frappez pour être entendus ; cherchez dans la sagesse et hors du matériel ce qu'elle seule peut vous faire trouver, et demandez à l'auteur de toute justice l'intelligence de ce que vous aurez cherché et trouvé.
    L'homme livré à ses passions est dans les ténèbres, il en est offusqué : son origine et sa fin ne lui sont plus présents. Il oublie la partie spirituelle qui entre dans son existence, pour ne se livrer qu'à la partie animale et matérielle. Il se dégrade en ne s'occupant que du temporel, et tant qu'il est dans cet état d'engourdissement, il ne peut s'élever au delà, il n'y aperçoit même rien, parce qu'il met lui même un voile épais entre la lumière et lui.
    Mais lorsque le voile est tombé, il aperçoit, avec les veux du désir et de la confiance, ce que son esprit offusqué par les passions ne pouvait lui laisser voir. Trois grandes étoiles se présentent à lui, ce sont les trois commandements qu'il trouve gravés dans son cœur.
    L'homme avait reçu l'usage des métaux, comme un dépôt et non comme une propriété, mais trompé par la concupiscence, il en abuse par l'usage trop immodéré qu'il en, fait. Il fallut l'en dépouiller. Toutes les passions peuvent être innocentes, elles ne deviennent criminelles que par l'abus que l'homme en fait. En nous rendant ces dons, dont nous avions mérité d'être dépouillé, c'est nous rendre la grâce de bien user des bienfaits de la nature; mais nous rie pouvons rentrer dans nos droits qu'avec un cœur pur, fruit du repentir et d'une bonne résolution.
    L'excellence de l'homme est effectivement appuyée sur trois colonnes ou troisvertus theo.jpg impressions qu'il trouve gravées dans son cœur, s'il veut l'examiner; ce sont les trois vertus théologales. Sans leur pratique, tout l'édifice moral s' écroule l'homme est aussi appuyé sur la force, la sagesse et la beauté qui nous représentent la divinité; l'homme même et les éléments; la nature, la raison et la justice ; le spirituel, l'animal et le matériel ; l'intelligence, la conception et la volonté.

     J-B Willermoz

    je vous demandes de relire ces lignes encore une fois

    et méditez ;-)

  • UN AN DÉJÀ!!!

    Le C.E.R.W.J.B., est né, du désir d’un groupe de « passionnés », de vouloir se réunir pour partager, 

    diffuser, transmettre des connaissances et réflexions sur le R.E.R que nous pratiquons et que nous 

    voulons mieux connaitre, tel que J.B. Willermoz l’avait créé à son origine …… 

    ……« l’insensé voyage toute sa vie, sans savoir où il va, ni d’où il vient, mais le sage se rend compte 

    de tous ses pas, parce qu’il en connait l’importance et le terme ».

    Le fruit de nos travaux est systématiquement publié sur notre site pour que toute personne 

    intéressée puisse consulter librement ces essais, pour vous présenter aussi notre association, sans 

    pour autant être dans l’obligation d’une adhésion. Bien entendu l’esprit d’ouverture qui anime ce 

    centre de recherche philosophique et de réflexion, ne peut que vous inviter à nous rejoindre pour 

    que vous puissiez aussi, apporter votre pierre, en intégrant des commissions de travail, tant les sujets 

    sont nombreux, tant les questionnements sont sans bornes.

    Bien entendu toute cette organisation s’appuie sur un calendrier bien défini en début d’année et 

    proposé à tous, et pour tous.

    Je salue par la présente, et après un an d’existence, l’excellence des travaux présentés jusqu’à ce 

    jour, la qualité des présentations PowerPoint, l’implication de chacun et de l’ensemble du conseil 

    d’administration, ainsi que de notre « blogueur » qui quotidiennement fait vivre notre site que nous 

    mettons à votre disposition.

    Je nous félicite aussi de cet esprit qui anime nos travaux et bien entendu des agapes fraternelles qui 

    les suivent, ou les débats qui nous ont ouvert l’appétit, nous entrainent encore dans des voyages 

    sans fin jusqu’au bout de la nuit…

    Je vous souhaite donc, cher ami, et dans l’immédiat, une bonne initiation à ce voyage à travers notre 

    web site, et qui sait….peut être à bientôt ; il semblerait que le Hasard n’existe pas…

    Le Président

    Jean Marie FERRIGNOIMG_2642 (2).JPG